30 novembre 2011 216 mots, 1 min. de lecture Dernière mise à jour : 23 février 2020

Les clichés de Lavazza (bis)

Par Pierre-Nicolas Schwab Docteur en marketing, directeur de IntoTheMinds
Dans un billet précédent j’avais pris plaisir à décrypter les clichés utilisés dans une publicité de Lavazza. Un passage par l’aéroport m’a fait découvrir une variante de cette publicité et c’est avec un plaisir renouvelé que j’ai pu constater que […]

Dans un billet précédent j’avais pris plaisir à décrypter les clichés utilisés dans une publicité de Lavazza.

Un passage par l’aéroport m’a fait découvrir une variante de cette publicité et c’est avec un plaisir renouvelé que j’ai pu constater que les clichés sur l’Italie et les Italiens y étaient de nouveau légion. Pas besoin de grande analyse; l’image parle d’elle-même.

Toutes les recettes sont-elles bonnes pour se faire de la publicité ?

Un exemple récent de publicité transformé en « bad buzz » est celui de la marque Bicky Burger, surtout présente en Belgique et aux Pays-Bas. Cette marque a sorti en 2019 une publicité d’assez mauvais goût. Taxé de sexisme et de misogynie, la marque a du faire marche arrière et retirer sa publicité des réseaux sociaux. Dans un podcast que bous pouvez écouter ci-dessous, nous avons analysé avec Karim Debbah les conséquences qu’un tel « bad buzz » pouvait avoir, et si au final l’effet publicitaire généré pouvait être positif pour la marque.

Dans cet article j’ai développé l’analyse et ai en particulier recherché des références d’études scientifiques sur le sujet. Comme vous pourrez le constater, le bad buzz n’a pas que des effets négatifs.

 



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